Réalisation
Distribution
Bande originale
Photographie
Scénario
Montage
Date
October 10, 1979
Durée (minutes)
130
Note
7
Groupes
‣
L’espace d’un instant 🚀
Médias 📺
Bande-annonce 📣
‣
Galerie 🖼️
Avis ✍️
Vous réapparaissez aussi inévitablement que la mauvaise saison !
Fond
⭐️⭐️⭐️
Forme
⭐️⭐️⭐️⭐️
Note finale
⭐️⭐️⭐️⭐️
LES PLUS
- Un spectacle jubilatoire…
- Une production value encore rarement atteinte
- Moore, constant tout en délicatesse et flegme admirablement British
- Quelques scènes plus sombres surprenantes et mémorables (la mise à mort de Corinne, Requin qui se dévoile dans les rues de Rio…)
- Un retour de Barry en grâce
- Un dépaysement de tous les instants
- Une réalisation toujours aussi soignée
- Des cascades parfaites…
- Ken Adam, plus que jamais au firmament de son art
- Drax sous les traits de Lonsdale, glaçant et délectable
LES MOINS
- … pour peu que l’on lui pardonne ses errements humoristiques
- … bien que Moore n’ait pas la même aisance pendant les combats que ses prédécesseurs
- Quelques effets qui datent le film (mais qui font aussi son charme)
- Une intrigue cousue de fil blanc
- Requin, en ressort comique
D’autres films de la saga
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis GilbertRien que pour vos yeux (1981), John Glen🍸 Critiques de la saga
Un retour juste sur une saga riche et passionnante de plus de 60 ans
James Bond 007 contre Dr No (1962), Terence Young/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
James Bond 007 contre Dr No (1962), Terence Young
Viens, voir, viens voir le docteur
7
Bons baisers de Russie (1963), Terence Young2/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Bons baisers de Russie (1963), Terence Young
Soviet Suprême
8
On ne vit que deux fois (1967), Lewis Gilbert10/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
On ne vit que deux fois (1967), Lewis Gilbert
Jamais deux sans trois
7
Au service secret de sa Majesté (1969), Peter Hunt20/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Au service secret de sa Majesté (1969), Peter Hunt
Un service 5 étoiles
9
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton5/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton
Pas bien brillant
2
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton27/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton
Vaudou, dis donc !
6
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton9/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton
Or de ma vue !
2
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert44/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert
Un Bond qui a du mordant
8
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode15/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode
Une bien mauvaise presse
7
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted2/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted
Insuffisant
5
Quantum of Solace (2008), Marc Forster23/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Quantum of Solace (2008), Marc Forster
Pas une once de réconfort
6
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
Un temps soit peu
8
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À lire ensuite 💡
Dans la peau de John Malkovich (1999), Spike Jonze
Dans la peau de John Malkovich (1999), Spike Jonze