Réalisation
Distribution
Bande originale
Photographie
Scénario
Montage
Date
December 19, 1969
Durée (minutes)
142
Note
9
Groupes
‣
Un service 5 étoiles ⛷️
Médias 📺
Bande-annonce 📣
‣
Galerie 🖼️
Avis ✍️
Nous avons toute la vie devant nous.
Fond
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Forme
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Note finale
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
LES PLUS
- Une période charnière des années 60 encore…
- Un ton assez différent, plus dur et mélancolique
- Ma partition préférée de Barry
- Bon Dieu, quelle chanson-titre (ma préférée d’Armstrong) !
- Une superbe réalisation
- La fraîcheur des nouveaux décors
- Absolument unique
- La présence physique de Lazenby…
- Un antagoniste brillant et menaçant
- Diana Rigg qui campe un personnage à la hauteur du héros, bien plus qu’une Bond girl
- La plus belle (et triste) fin d’un film de la franchise, belle, dure et tout en retenue
LES MOINS
- … avec tout ce que l’on peut reprocher aux années soixante aussi
- … hélas entachée par son manque d’expérience, avec un jeu convenu et manquant de nuances
- Quelques effets vieillots
D’autres films de la saga
On ne vit que deux fois (1967), Lewis GilbertLes diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton🍸 Critiques de la saga
Un retour juste sur une saga riche et passionnante de plus de 60 ans
James Bond 007 contre Dr No (1962), Terence Young/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
James Bond 007 contre Dr No (1962), Terence Young
Viens, voir, viens voir le docteur
7
Bons baisers de Russie (1963), Terence Young2/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Bons baisers de Russie (1963), Terence Young
Soviet Suprême
8
On ne vit que deux fois (1967), Lewis Gilbert10/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
On ne vit que deux fois (1967), Lewis Gilbert
Jamais deux sans trois
7
Au service secret de sa Majesté (1969), Peter Hunt20/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Au service secret de sa Majesté (1969), Peter Hunt
Un service 5 étoiles
9
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton5/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton
Pas bien brillant
2
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton27/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton
Vaudou, dis donc !
6
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton9/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton
Or de ma vue !
2
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert44/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert
Un Bond qui a du mordant
8
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode15/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode
Une bien mauvaise presse
7
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted2/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted
Insuffisant
5
Quantum of Solace (2008), Marc Forster23/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Quantum of Solace (2008), Marc Forster
Pas une once de réconfort
6
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
Un temps soit peu
8
Vous aimez me lire et vous aimeriez m’encourager, n’hésitez pas à m’offrir un petit café. 🙂
À lire ensuite 💡
Dans la peau de John Malkovich (1999), Spike Jonze
Dans la peau de John Malkovich (1999), Spike Jonze