Appréciation
Réalisation
Distribution
Bande originale
Scénario
Montage
Date
November 22, 2006
Durée (minutes)
Note
8
Groupes
Une main gagnante
James Bond
The bitch is dead.
Fiche technique
Réalisateur
Martin Campbell
Directeur de la photographie
Phil Meheux
Compositeur
David Arnold Chanson du générique : You Know My Name interprétée par Chris Cornell
Scénariste
Neal Purvis, Robert Wade et Paul Haggis, d'après Casino Royale de Ian Fleming
Monteur
Stuart Baird
Avis
Fond
⭐️⭐️⭐️⭐️
Forme
⭐️⭐️⭐️⭐️
Note finale
⭐️⭐️⭐️⭐️
LES PLUS
- Une renaissance salvatrice
- Un réiconisation de l’espion et des ses divers tropes
- Daniel Craig qui habite le personnage comme rarement l’ont fait
- Eva Green, parfaite de complexité en Vesper
- Mads Mikkelsen qui explose dans son rôle
- L’ensemble de la distribution, grandiose, des alliés aux ennemis
- Martin Campbell, plus efficace que jamais
- Une superbe photographie avec le parti-pris osé du noir et blanc pour la scène d’ouverture
- Une intrigue prenante qui revient aux origines
- Une romance forte et très bien écrite
- Des dialogues étonnement bien écrits (surtout avec Wade et Purvis dans les pattes)
- Des moments très forts
- Parmi les meilleures scènes d’action de la franchise
- Un montage remarquable
- David Arnold qui revient en fanfare avec des thèmes fort, plus orchestraux
- Et surtout la meilleure utilisation du thème de la saga
- Daniel Kleinman, lui aussi bien plus inspiré sur son générique
- You Know my Name de Cornell
LES MOINS
- Une partie de poker à haut risque qui pourra paraître interminable pour certains
- Une publicité bien trop visible
- Une proximité tonale peut-être trop évidente avec les Jason Bourne
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Viens, voir, viens voir le docteur
7
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Soviet Suprême
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Jamais deux sans trois
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Un service 5 étoiles
9
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton5/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Les diamants sont éternels (1971), Guy Hamilton
Pas bien brillant
2
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton27/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Vivre et laisser mourir (1973), Guy Hamilton
Vaudou, dis donc !
6
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton9/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’homme au pistolet d’or (1974), Guy Hamilton
Or de ma vue !
2
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert44/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
L’espion qui m’aimait (1977), Lewis Gilbert
Un Bond qui a du mordant
8
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode15/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Demain ne meurt jamais (1997), Roger Spottiswoode
Une bien mauvaise presse
7
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted2/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Le monde ne suffit pas (1999), Michael Apted
Insuffisant
5
Quantum of Solace (2008), Marc Forster23/w=1920,quality=90,fit=scale-down)
Quantum of Solace (2008), Marc Forster
Pas une once de réconfort
6
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
No Time to Die (2021), Cary Joji Fukunaga
Un temps soit peu
8