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Réalisation
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Distribution
Bande originale
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Photographie
Scénario
Montage
Date
February 2, 2000
Durée (minutes)
122
🏷️ Genres
Note
9
Groupes
‣
Uncle Sad 🌹
Synopsis 📝
Une maison de rêve, un pavillon bourgeois discrètement cossu dissimule dans une banlieue résidentielle, c'est ici que résident Lester Burnhamm, sa femme Carolyn et leur fille Jane. L'agitation du monde et sa violence semblent bien loin ici. Mais derrière cette respectable façade se tisse une étrange et grinçante tragi-comédie familiale ou désirs inavoués, frustrations et violences refoulées conduiront inexorablement un homme vers la mort.
Médias 📺
Bande-annonce 📣
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Galerie 🖼️
Avis ✍️
Sometimes there's so much beauty in the world, I feel like I can't take it, and my heart is just going to cave in.
Fond
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Forme
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Note finale
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
LES PLUS
- Premier coup de maître de Sam Mendes
- Un scénario avant-gardiste, acerbe
- Un équilibre tonal remarquable, entre le drame et la comédie
- Avec de vraies répliques cinglantes et un comique de situation
- Des moments étonnement graves
- Evidemment une distribution brillante
- Kevin Spacey, dans certainement son rôle le plus fort
- Annette Bening, hilarante, pour un personnage à sa mesure
- Wes Bentley, très touchant
- Une réalisation très élégante
- Bien aidée par la photographie de Conrad L. Hall, l’une des ses dernières, hélas
- Thomas Newman, à son apogée
- Un rythme parfait qui sait faire durer les scènes qui le demandent
LES MOINS
- Beaucoup d’oeuvres qui ont suivi s’en sont beaucoup inspirées, ce qui peut émousser la surprise pour une première vision
- L’affaire Spacey reste désormais en tête durant tout le long-métrage, hélas
Vous aimez me lire et vous aimeriez m’encourager, n’hésitez pas à m’offrir un petit café. 🙂
À lire ensuite 💡
Dans la peau de John Malkovich (1999), Spike Jonze
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